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Ce qu'il y a de sympa avec l'aviation, c'est qu'on arrive à se créer des "premières fois".
Vous savez, ces moments auxquels on pense depuis si longtemps, qu'on a préparés, imaginés ou fantasmés. Vous vous souvenez de l'incontournable premier lâcher, de votre première grande nav, premier vol avec vos amis... etc.
Sur cette première vidéo, vous avez le départ de San Diego et le début de la route, le long de la côte Californienne
... où avec mon accent pourri alors que j'indique notre destination (Shafter Minter, KMIT, c'est pourtant simple), l'ATC me répond "I'm not familliar with your destination". Oula, c'est pas gagné. On est pas arrivé me suis-je dit. Je passerais sur la liste plus tard, une vidéo où la tour de Montgomery me parle carrément... en français avec un accent - lui aussi - à couper au couteau. L'humiliation... humouurrrrr. Vous verrez bien par vous même sur la vidéo.
Sans surprise, les Farwest (nos voyages en Cessna aux US) sont d'incroyables sources de "première fois" : la première classe Bravo, la première One-Six-right, le premier McCarran... Que Marc-Olivier, mon ami et instructeur qui m'a accompagné et tout appris là-bas en soit ici encore remercié. Pour Thibaut, il y a eu une première fois en décembre dernier. La vidéo n'arrive que maintenant (pas taper...) et le voilà aux commandes de son Cessna, partant de San Diego pour aller se faire la verticale de LAX, sans plan de vol, en VFR et en auto-info. Archi-classique me direz-vous. Mais toujours un grand moment d'étonnement quand on a été élevé au DR400 au raz de la TMA parisienne.
Sur la 2ème partie de la vidéo, nous approchons de Los Angeles...
... avec la manipulation du Garmin GTN, la phraséo (dans un autre espace temps) de la dame de l'approche de LA, un peu de vectoring pour éviter un Fedex (ou l'inverse) et la fameuse verticale de LAX dans le corridor 'LA Special Flight Rules"
C'est pas la première fois que je parle de cette procédure et de ce genre de vol. Mais accompagner un pilote qui fait sa première verticale LAX en Cessna est un plaisir sans cesse... renouvelé.
J'attend le moment où je vais m'en lasser.
Vous savez, ces moments auxquels on pense depuis si longtemps, qu'on a préparés, imaginés ou fantasmés. Vous vous souvenez de l'incontournable premier lâcher, de votre première grande nav, premier vol avec vos amis... etc.
Sur cette première vidéo, vous avez le départ de San Diego et le début de la route, le long de la côte Californienne
... où avec mon accent pourri alors que j'indique notre destination (Shafter Minter, KMIT, c'est pourtant simple), l'ATC me répond "I'm not familliar with your destination". Oula, c'est pas gagné. On est pas arrivé me suis-je dit. Je passerais sur la liste plus tard, une vidéo où la tour de Montgomery me parle carrément... en français avec un accent - lui aussi - à couper au couteau. L'humiliation... humouurrrrr. Vous verrez bien par vous même sur la vidéo.
Sans surprise, les Farwest (nos voyages en Cessna aux US) sont d'incroyables sources de "première fois" : la première classe Bravo, la première One-Six-right, le premier McCarran... Que Marc-Olivier, mon ami et instructeur qui m'a accompagné et tout appris là-bas en soit ici encore remercié. Pour Thibaut, il y a eu une première fois en décembre dernier. La vidéo n'arrive que maintenant (pas taper...) et le voilà aux commandes de son Cessna, partant de San Diego pour aller se faire la verticale de LAX, sans plan de vol, en VFR et en auto-info. Archi-classique me direz-vous. Mais toujours un grand moment d'étonnement quand on a été élevé au DR400 au raz de la TMA parisienne.
Sur la 2ème partie de la vidéo, nous approchons de Los Angeles...
... avec la manipulation du Garmin GTN, la phraséo (dans un autre espace temps) de la dame de l'approche de LA, un peu de vectoring pour éviter un Fedex (ou l'inverse) et la fameuse verticale de LAX dans le corridor 'LA Special Flight Rules"
C'est pas la première fois que je parle de cette procédure et de ce genre de vol. Mais accompagner un pilote qui fait sa première verticale LAX en Cessna est un plaisir sans cesse... renouvelé.
J'attend le moment où je vais m'en lasser.
). Mais je me rappelle aussi que ce fut pour moi un moment de grande "démoralisation" du point de vue phraséo (à l'arrivée sur Camarillo surtout), car soyons francs : je n'avais pas capté grand chose de ce que me disait la TWR.
